Le Chemin Écriture du Spiritisme Chrétien.
Doctrine spirite - 1re partie. ©

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Revue spirite — Année X — Janvier 1867.

(Langue portugaise)

NOTICES BIBLIOGRAPHIQUES.


LETTRE DE M. ROUSTAING, DE BORDEAUX.

M. Roustaing, de Bordeaux,  †  nous a adressé la lettre suivante avec prière de l’insérer :


Monsieur le Directeur de la Revue Spirite,

Dans l’ouvrage que vous avez annoncé dans le numéro de la Revue Spirite du mois de juin dernier [v. Les Évangiles expliqués], et intitulé : « Spiritisme chrétien, ou Révélation de la révélation ; – les quatre évangiles suivis des commandements expliqués en Esprit et en vérité, par les évangélistes assistés des apôtres ; Moïse, recueillis et mis en ordre par J.-B. Roustaing, avocat à la Cour impériale de Bordeaux, ancien bâtonnier, 3 vol., Paris, Librairie centrale, nº 24, 1866 ; » ouvrage dont j’ai fait hommage aux mois d’avril et mai derniers à la direction de la Revue Spirite de Paris, qui l’a accepté, il a été omis dans l’impression, ce qui a échappé à la correction des épreuves, un passage du manuscrit. Ce passage omis, et qui est ainsi conçu, a sa place à la suite de la dernière ligne, page 111, IIIº vol. «  Et cette hypothèse de la part des Spirites : – Que le corps de Jésus aurait été un corps terrestre, – et que les anges ou Esprits supérieurs auraient pu le rendre invisible, l’enlever, et l’auraient enlevé, – au moment même où la pierre fut descellée et renversée, serait, A PRIORI, inadmissible et fausse ; elle doit, en effet, être écartée comme telle, – en présence de la révélation faite par l’ange à Marie, puis à Joseph ; révélation qui serait alors mensongère, qui ne peut l’être, émanant d’un envoyé de Dieu, et qui doit être interprétée, expliquée selon l’esprit qui vivifie, en esprit et en vérité, selon le cours de lois de la nature et non rejetée. » (Voir suprà, IIIº vol., pages 23-24 ; – 1er vol., p. 27 à 44 ; 67 à 86 ; 122 à 129 ; 165 à 193 ; 226 à 266 ; – IIIº vol., p. 139 à 145 ; 161 à 163 ; 168 à 175.)

Pour porter, par la publicité dont votre journal dispose, à la connaissance de ceux qui ont lu, qui lisent et qui liront cet ouvrage, cette omission qui a eu lieu dans l’impression, et afin que ceux qui ont cet ouvrage puissent ajouter à la main, et ce à la page indiquée, le paragraphe ci-dessus mentionné, – je viens solliciter de votre obligeance l’insertion de la présente lettre dans le plus prochain numéro de la Revue Spirite de Paris, en vous remerciant d’avance.

Veuillez, Monsieur le Directeur, agréer, etc.

Roustaing,

Avocat à la Cour impériale de Bordeaux, ancien Bâtonnier, rue Saint-Siméon, 17.


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