I. — Les Esprits s’incarnent hommes ou femmes, parce qu’ils n’ont pas de sexe. Comme ils doivent progresser en tout, chaque sexe, comme chaque position sociale, leur offre des épreuves et des devoirs spéciaux, et l’occasion d’acquérir de l’expérience. Celui qui serait toujours homme, ne saurait que ce que savent les hommes.
II. — Par la doctrine spirite, la solidarité n’est plus restreinte à la société terrestre : elle embrasse tous les mondes ; par les rapports que les Esprits établissent entre les différentes sphères, la solidarité est universelle, car d’un monde à l’autre les êtres vivants se prêtent un mutuel appui.
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