Dans un article politique fort sérieux sur la Pologne, signé Bonneau, publié dans l’Opinion nationale du 10 novembre 1863, on lit le passage suivant :
« Que François-Joseph évoque l’ombre de son aïeule, qu’il demande conseil à Marie-Thérèse, âme souffrante, poursuivie par le remords de la Pologne démembrée, et la lumière se fera tout à coup à ses yeux. »
Ces paroles n’ont pas besoin de commentaire. Nous avions raison de dire plus haut que l’idée spirite perce partout ; on y est entraîné malgré soi, et bientôt elle débordera.